Sylvester Stallone

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Sylvester Stallone
Sylvester Stallone en juillet 2010
Nom de naissance | Michael Sylvester Gardenzio Stallone |
---|---|
Surnom | « Sly » |
Naissance | 6 juillet 1946 New York, États-Unis |
Nationalité | ![]() |
Profession | Acteur Producteur Réalisateur Scénariste |
Films notables | Rocky (saga) Rambo (saga) Tango et Cash Cliffhanger : Traque au sommet Demolition Man Cop Land Expendables (saga) |
Site internet | www.sylvesterstallone.com |
Sylvester Stallone, également surnommé « Sly »[1], est un acteur, réalisateur, scénariste et producteur de cinéma américain d'origine italienne né le 6 juillet 1946 à New York.
Il est célèbre grâce à ses rôles dans les films Rocky et Rambo, qui restent encore à ce jour des références du cinéma d'action.
Sommaire
- 1 Biographie
- 2 Vie privée
- 3 Filmographie
- 4 Voix françaises
- 5 Distinctions
- 5.1 Oscars
- 5.2 Golden Globes
- 5.3 BAFTA Awards
- 5.4 Festival International du Film de Stockholm
- 5.5 Academy of Science Fiction, Fantasy & Horror Films
- 5.6 César
- 5.7 David di Donatello Awards
- 5.8 Golden Apple Awards
- 5.9 Golden Camera
- 5.10 Hasty Pudding Theatricals
- 5.11 Kansas City Film Critics Circle
- 5.12 Palm Springs International Film Festival
- 5.13 People's Choice Awards
- 5.14 ShoWest Convention
- 5.15 Walk of Fame
- 5.16 World Stunt Awards
- 5.17 Writers Guild of America
- 5.18 Festival du Film de Zurich
- 5.19 Mostra de Venise
- 5.20 IGN Award
- 5.21 The Hollywood Reporter
- 5.22 Hollywood Film Festival
- 5.23 Razzie Awards
- 6 Notes et références
- 7 Voir aussi
Biographie[modifier | modifier le code]
Biographie[modifier | modifier le code]
Le père de Stallone est né à Gioia del Colle, Pouilles, en Italie, et a émigré aux États-Unis dans les années 1930[2]. La mère de Sylvester Stallone est d'ascendance ukrainienne juive et française[3],[4].
Sylvester Stallone a étudié l'art dramatique à Miami. De retour à New York, il apparaît dans plusieurs pièces off-Broadway. Ses premiers pas au cinéma sont des rôles très mineurs. Durant une période de chômage, il se retrouve brièvement sans domicile fixe et tourne, pour survivre, un film érotique, The Party at Kitty and Stud's pour lequel il touche, selon son propre témoignage, un salaire de 200 dollars[5]. Le film ressort plusieurs années plus tard, après le triomphe de Rocky et pour profiter du succès naissant de l'acteur, sous le titre L'Étalon italien - surnom de Rocky Balboa ; le mot italien « stallone » signifiant par ailleurs « étalon » - accompagné d'une campagne publicitaire qui tente de le faire passer pour un film pornographique[6]. La majeure partie de ses autres rôles le cantonnent dans des apparitions brèves de loubard, comme dans Bananas où il chahute un pauvre Woody Allen. Il fait également quelques apparitions dans des séries télévisées comme Kojak, mais sa carrière semble au point mort.
C'est pendant ces années que Stallone écrit le scénario de Rocky, l'histoire d'un boxeur minable qui se voit offrir la chance de sa vie le jour où le champion du monde de boxe lui propose de l'affronter sur le ring. Son histoire est inspirée d'un combat de boxe auquel il assista en tant que spectateur et qui mit aux prises le grand Mohamed Ali avec un boxeur inconnu, Chuck Wepner. Contre toute attente, ce dernier résista et donna une réplique acharnée au grand champion.
Conscient que le rôle de Rocky Balboa, à l'image du combat contre Apollo Creed pour son personnage, peut faire basculer sa vie, Stallone refuse de vendre son script s'il n'obtient pas la garantie de jouer le rôle titre. Les producteurs firent monter très haut les enchères pour acheter ce script, mais ils voulaient une star confirmée sur l'affiche : dans un premier temps, le rôle fut proposé à James Caan, Robert Redford, Burt Reynolds ou Ryan O'Neal. Le peu d'expérience de l'acteur décourage plus d'un producteur.
La révélation[modifier | modifier le code]
C'est finalement en 1976 qu'il obtient gain de cause et que sort Rocky réalisé par John G. Avildsen. Le tournage est un exploit car il fut bouclé en à peine un mois et avec un budget dérisoire. À l'image de son personnage, Stallone se retrouve propulsé sur le devant de la scène, le film connaissant un succès inespéré et décrochant dix propositions pour les Oscars. En définitive, le film remporte 3 Oscars, dont le plus important, celui du meilleur film de l'année. L'histoire universelle de Rocky, celle des « petits » qui s'affirment et se réalisent à force de courage, mais aussi grâce au coup de pouce du destin - en somme une allégorie du rêve américain - fait naître un mythe du cinéma américain moderne et façonne aussi une dimension hors normes à son interprète.
Stallone retrouvera le personnage de Rocky à cinq reprises, en 1979, 1982, 1985, 1990 et 2006. Stallone a écrit tous les scénarios de la saga et a réalisé Rocky 2, Rocky 3, Rocky 4, et le sixième volet, intitulé Rocky Balboa. La série des Rocky présente un parallèle troublant entre la carrière de l'acteur et du boxeur qui s'embourgeoisent tous deux au fil des ans : on quitte le petit « tocard » paumé de Philadelphie pour évoluer vers une superstar accaparée par son image (Rocky 3), voire un fer de lance du patriotisme américain en pleine relance de la guerre froide (Rocky 4 où il affronte un boxeur de l'Union soviétique). La série perd en fraicheur ce qu'elle gagne en spectacle et aussi en recettes, puisque les épisodes successifs ne cessent d'améliorer les scores du box-office, allant jusqu'aux 300 millions de dollars récoltés dans le monde par le 4e épisode. Seul le 5e volet viendra perturber cette success story, en raison d'un retour aux sources et d'un scénario, axé sur le déclin du boxeur, qui heurtera les fans habitués au triomphe de leur idole.
L'homme d'action des années 1980[modifier | modifier le code]


En 1982, Stallone interprète dans Rambo l'autre rôle qui marquera sa carrière : celui d'un vétéran du Viêt Nam sans domicile fixe qui est pris en grippe par un shérif de province qui ne veut pas voir déambuler dans « sa » ville le symbole d'une Amérique qui a perdu. Stallone reprendra le rôle de John Rambo à trois autres reprises (1985, 1988 et 2008). Le personnage de Rambo, que Stallone considère comme son « côté obscur » (Rocky étant son « côté clair »), reprend quelques éléments de la vie de Stallone comme la saga Rocky.
Rambo est vraiment le rôle qui le consacre superstar mondiale du cinéma : son personnage de vétéran guerrier devient une icône et suscite une véritable « Rambomania ». Le personnage et ses exploits sont habilement exploités par le gouvernement Reagan, alors que la guerre froide connaît ses derniers soubresauts. Rambo, surtout avec le deuxième épisode de la trilogie (le premier étant plus ambigu), redonne de la fierté aux Américains qui pansent encore les plaies douloureuses du « bourbier » vietnamien : non seulement Stallone rompt avec un cinéma américain très virulent à l'égard de l'attitude des troupes de l'Oncle Sam pendant la guerre du Viêt Nam (Apocalypse Now, Voyage au bout de l'enfer...), mais en plus la trame du film Rambo 2 : La Mission - le héros repère et libère des soldats américains encore détenus dans les geôles vietnamiennes - véhicule l'idée selon laquelle ce nouveau héros américain venge à lui seul un pays déshonoré et gagne une guerre perdue par les bureaucrates.
C'est pour cela que Rambo, et par la même occasion Stallone, deviennent en quelque sorte l'image de l'Amérique fière et nationaliste des années quatre-vingt et provoquent de nombreuses réactions de rejet ou de moquerie, très vives en France avec les Nuls et surtout avec Les Guignols de l'info, où la marionnette de Stallone est choisie comme avatar pour représenter les pires travers de l'Amérique au travers du personnage de Monsieur Sylvestre.
Stallone est la superstar des films d'action à cette époque, mais les rôles de Rocky et Rambo ont tellement marqué les esprits et sa carrière que ses autres films des années 1980 n'ont pas vraiment marché, même s'il s'est essayé à plusieurs genres : le thriller policier avec Les Faucons de la nuit, le film de guerre avec À nous la victoire (1981), la comédie musicale avec New York Cowboy (1984), la comédie policière avec Tango et Cash (1989) ou encore le film carcéral avec Haute Sécurité (1989), sans oublier le film d'action policier avec Cobra (1986) (le public et la critique ont cependant tendance à rattacher la plupart de ces films au terme générique « film d'action », ce qui explique en partie pourquoi Stallone a souvent été accusé de faire toujours le même type de film).
La fin d'une époque[modifier | modifier le code]
Dans les années 1990, Stallone laisse derrière lui les personnages de Rocky et de Rambo. Voulant s'arracher au carcan de ces deux personnages, il essaye (pour marcher sur les traces de son rival et ami Arnold Schwarzenegger mais sans succès) de percer dans la comédie, avec L'embrouille est dans le sac et Arrête ou ma mère va tirer ! Sa cote chute et Stallone traverse une première période de vaches maigres. C'est son ami, mais concurrent de toujours, Schwarzenegger, qui devient la star du box-office, mais à cette époque également émerge une nouvelle génération de héros d'actions (Steven Seagal, Jean-Claude Van Damme, Bruce Willis) qui renouvellent le genre et marchent sur ses plates-bandes.
Ayant retenu la leçon de ses échecs, il décide alors de revenir au cinéma d'action, avec des fortunes diverses : il joue ainsi dans des films comme Cliffhanger : Traque au sommet, Demolition Man et L'Expert qui sont de vrais succès, alors que Judge Dredd, Assassins ou encore Daylight sont de nouvelles déceptions au box-office américain. Mais ses films continuent à remporter un certain succès à l'étranger comme le film Daylight qui a réalisé plus de 126 millions de $.
Ces dernières années, le rôle qui a le plus marqué la critique lui a été offert par James Mangold en 1997, avec Cop Land. Il y incarne le shérif fatigué et bedonnant d'une petite ville de policiers tenue par la mafia. Il prend 20 kilos pour ce rôle et étonne de nombreux observateurs. Stallone prouve en effet qu'il n'est pas un simple paquet de muscles, mais un véritable acteur. Salué par de nombreux amateurs, le film n'est pas suivi par le grand public qui semble avoir du mal à accepter Stallone dans un rôle d'homme « faible », ne mettant pas en valeur ses prouesses physiques. Cette expérience n'a donc pas de suite.
La traversée du désert[modifier | modifier le code]
Cop Land n'obtient donc qu'un succès d'estime. Dès lors, l'acteur, qui a franchi la barre des 50 ans, traverse de nouveau une période peu fructueuse : n'ayant plus forcément les budgets et les talents dont on peut s'entourer lorsque l'on est en tête du box-office, il enchaîne les échecs commerciaux avec des films comme Driven (2001), Get Carter (2001), D-Tox (2002), ou Les Maîtres du jeu (2004).
En 2004, il présente sur NBC une émission de télé-réalité The Contender dans laquelle on voit le quotidien de boxeurs qui se battent pour devenir le meilleur d'entre eux. En France, l'émission fut diffusée par Canal+ et W9. Stallone n'a visiblement plus de projets et doit se contenter d'apparitions clin-d'oeil dans des séries télévisées comme Las Vegas ou des films tels que Taxi 3 et Spy Kids 3. En 2005, il fit entrer Hulk Hogan au WWE Hall of Fame.
Retour[modifier | modifier le code]
Après de longues années passées à essayer de convaincre les producteurs, Stallone revient sur le devant de la scène en 2006, avec le sixième volet de Rocky. Le projet semble fou, car pour beaucoup, Stallone est trop vieux pour incarner le rôle du boxeur et l'acteur n'échappe pas aux railleries. Néanmoins, il s'accroche à son projet, comprenant que le personnage lui colle à la peau et que le public apprécie de le voir dans ce rôle.
Rocky Balboa, axé sur la nostalgie et le retour aux valeurs du tout premier épisode permet finalement à Stallone de renouer avec le succès critique et les premières places du box office. Après le retour bien accueilli de Rocky, Stallone tente la résurrection de l'autre rôle de sa vie, John Rambo. il s'agit là du quatrième film de cette saga et il le nomme - à l'image de son dernier Rocky - simplement par le nom du personnage : John Rambo. Le film présente une intrigue proche de celle de Rambo 2, mais revient également à la source du personnage découvert dans le premier opus, le film se situe entre la dénonciation du génocide du peuple karen par la junte birmane et la réflexion de John Rambo sur son passé de guerrier et fait preuve d'une violence totalement assumée.
Stallone, réalisateur et scénariste[modifier | modifier le code]

Sylvester Stallone est aussi réalisateur : il a mis en scène les volets 2, 3, 4 et 6 de la saga Rocky ainsi que La Taverne de l'enfer (1978) et Staying Alive (1983) avec John Travolta (la suite de La Fièvre du samedi soir), sans oublier le dernier volet de la saga Rambo. Il est également le scénariste ou le coscénariste de tous les films qu'il a mis en scène et de plusieurs films qu'il a interprétés sans les avoir réalisés (F.I.S.T., Cobra, Cliffhanger, etc.).
Le tournage de son film Expendables : Unité spéciale a démarré au mois d'avril 2009 au Brésil, avec Stallone lui-même, Jason Statham, Jet Li, Charisma Carpenter, Dolph Lundgren, Randy Couture (Champion de MMA), Stone Cold Steve Austin, Eric Roberts, Mickey Rourke et une courte apparition de Arnold Schwarzenegger et de Bruce Willis. Le film est sorti le 13 août 2010 aux États-Unis et le 18 août en France. Il conte l'histoire d'une bande de mercenaires envoyés sur une ile d'Amérique du Sud pour y déloger un dictateur, incarné par David Zayas (Dexter et la série Oz). Le film est un succès au box-office.
En 2012, il reprend son rôle dans Expendables 2 mais ne se charge pas de la réalisation qui est confiée à Simon West. Le film tourné en grande partie en Bulgarie accueille quelques nouveaux gros bras comme Chuck Norris, Scott Adkins mais surtout Jean-Claude Van Damme qui incarne le méchant. Pour cette suite, les personnages d'Arnold Schwarzenegger et Bruce Willis prennent plus d'importance. Le film est sorti le 22 août 2012 en France. Un troisième volet est en projet pour lequel on envisage d'intégrer Harrison Ford , Antonio Banderas, Wesley Snipes ou encore Mel Gibson.
Retour en haut de l'affiche[modifier | modifier le code]
Sylvester Stallone tourne le film Du plomb dans la tête aux côtés de Jason Momoa, il incarne un tueur à gages forcé à faire équipe avec un flic pour retrouver l'assassin de leurs équipiers respectifs. Il retrouvera Arnold Schwarzenegger dans Évasion, qui raconte l'histoire d'un concepteur de prisons les plus sûres en matière de sécurité qui sera lui-même arrêté et emprisonné. L'acteur envisage également de réaliser un cinquième opus des aventures de John Rambo.
Vie privée[modifier | modifier le code]
- décembre 1974-février 1985 : il est marié avec Sasha Czack avec qui il aura deux fils, Sage Moonblood (1976-2012)[7] et Seargeoh (1979). Seargeoh est autiste[8]. Sage décède en juillet 2012 à l'âge de 36 ans.
- décembre 1985-juillet 1987 : il est marié avec sa partenaire de Rocky 4 et Cobra, l'actrice Brigitte Nielsen.
- mai 1997 : il épouse l'ancien mannequin Jennifer Flavin. Ils ont trois filles ensemble : Sophia Rose (1996), Sistine Rose (1998) et Scarlet Rose (2002)[9].
Filmographie[modifier | modifier le code]
Acteur[modifier | modifier le code]
Année | Film | Titre V.O. | Réalisateur | Rôle | Commentaire | Budget[10] estimé | Box-office ![]() |
Box-office![]() |
1970 | L'Étalon italien | The Party at Kitty and Stud's | Morton Lewis | Stud | Ce film a longtemps poursuivi Stallone : il s'agit en effet d'un film érotique, que l'acteur avait tourné alors qu'il était en grande difficulté financière. Il accepta le rôle pour la somme de 200 dollars[11]. | 5 000 $ | ||
1970 | Lune de miel aux orties | Cy Howard | Non crédité | |||||
1970 | Rebel | No Place to Hide, The Terrorists | Robert Allen Schnitzer | Jerry Savage | ||||
1971 | Bananas | Woody Allen | L'agresseur du métro | 2 000 000 $ | ||||
1971 | Klute | Alan J. Pakula | Homme dansant dans un club (non crédité) |
2 500 000 $ | 12 512 637 $ | |||
1974 | Les Mains dans les poches | The Lords of Flatbush | Martin Davidsen et Stephen Verona | Stanley Rosiello | 160 000 $ | 4 265 000 $ | 9 477 778 $ | |
1975 | Le Prisonnier de la Seconde Avenue | The Prisoner of Second Avenue | Melvin Frank | Jeune dans un parc | ||||
1975 | Capone | Steve Carver | Frank Nitti | |||||
1975 | La Course à la mort de l'an 2000 ou Seigneurs de la Route | Death Race 2000 | Paul Bartel | « Mitraillette » Joe Viterbo | Ce film a obtenu la Licorne d'or au Festival international de Paris du film fantastique et de science-fiction. | 300 000 $ | ||
1975 | Mandingo | Richard Fleischer | Un jeune homme dans la foule | La scène où il apparaissait a été supprimée | ||||
1975 | Adieu ma jolie | Farewell, My Lovelly | Dick Richard | Johnnie | Ce film a été nommé aux Oscars et aux Edgar Allan Poe Awards. | 2 300 000 $ | ||
1976 | Cannonball ! | Paul Bartel | Mafieux (non crédité) |
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1976 | Rocky | John G. Avildsen | Rocky Balboa | Rocky, dont il a écrit le scénario, a définitivement révélé Stallone au grand public. Il s'agit d'un de ses rôles principaux avec le personnage de John Rambo. Le film a obtenu 3 Oscars. | 1 000 000 $ | 117 235 147 $ | 225 235 147 $ | |
1978 | F.I.S.T | Norman Jewison | Johnny D. Kovak | deux camarades qui créent un syndicat, et avec le temps, deux visions du syndicalisme qui s'opposent. un scenario plus "politique" que pure action. | 11 000 000 $ | 20 388 920 $ | ||
1978 | La Taverne de l'enfer | Paradise Alley | Sylvester Stallone | Cosmo Carboni | Stallone passe pour la première fois derrière la caméra | 8 000 000 $ | ||
1979 | Rocky 2 : La Revanche | Rocky II | Sylvester Stallone | Rocky Balboa | 7 000 000 $ | 85 182 160 $ | 200 182 160 $ | |
1980 | Les Faucons de la nuit | Nighthawks | Bruce Malmuth | Sergent Detective Deke DaSilva | 5 000 000 $ | 14 905 359 $ | 19 600 000 $ | |
1981 | À nous la victoire | Victory | John Huston | Capitaine Robert Hatch | Pour ce film qui se passe durant la Seconde Guerre mondiale, la distribution réunit de grandes gloires du football en plus de Stallone et Michael Caine : Pelé, Bobby Moore, Osvaldo Ardiles, John Wark, Paul Van Himst, Kazimierz Deyna, ... | 10 853 418 $ | 27 453 000 $ | |
1982 | Rocky 3 : L'OEil du tigre | Rocky III: Eye of the Tiger | Sylvester Stallone | Rocky Balboa | Succès international pour le thème principal du film : Eye of the Tiger. Le film est nommé dans les plus prestigieuses compétitions : Oscars, BAFTA, Golden Globes... Il s'agit également du premier rôle au cinéma de Mister T. et de Hulk Hogan. | 25 000 000 $ | 125 049 125 $ | 250 000 000 $ |
1982 | Rambo | First Blood | Ted Kotcheff | John Rambo | Véritable pavé dans la marre concernant le sort des vétérans du Vietnam de retour aux USA, le film crée une vive émotion et offre à Stallone un autre rôle-référence. | 15 000 000 $ | 47 212 904 $ | 125 212 904 $ |
1983 | Staying Alive | Sylvester Stallone | Un homme dans la rue (caméo) | Suite de La Fièvre du samedi soir dirigée par Stallone, avec John Travolta. | 64 892 670 $ | 127 600 000 $ | ||
1984 | New York Cowboy | Rhinestone | Bob Clark | Nick Martinelli | Dans ce film qui n'a rien à voir avec le cinéma d'action, Stallone chante dans l'univers du Country, c'est une comédie dans un contre-emploi total. | 28 000 000 $ | 21 435 321 $ | |
1985 | Rambo 2 : La Mission | Rambo: First Blood Part II | George P. Cosmatos | John Rambo | Retour au cinéma d'action pour Stallone qui remporte ici un énorme succès commercial avec à la clé une proposition pour l'Oscar du meilleur son. | 44 000 000 $ | 150 415 432 $ | 300 400 432 $ |
1985 | Rocky 4 | Sylvester Stallone | Rocky Balboa | Nouveau gros succès commercial pour Stallone juste après Rambo 2 : La Mission. A noter parmi le casting, la présence de Brigitte Nielsen. Le film révèle également Dolph Lundgren au public. | 30 000 000 $ | 127 873 716 $ | 300 473 716 $ | |
1986 | Cobra | George P. Cosmatos | Lieutenant Marion Cobretti dit « Cobra » | 49 042 224 $ | 160 000 000 $ | |||
1987 | Le Bras de fer | Over the Top | Menahem Golan | Lincoln Hawk | 25 000 000 $ | 16 057 580 $ | 60 057 580 $ | |
1988 | Rambo 3 | Peter MacDonald | John Rambo | 63 000 000 $ | 53 615 711 $ | 189 015 611 $ | ||
1989 | Haute Sécurité | Lock Up | John Flynn | Frank Leone | 22 099 847 $ | |||
1989 | Tango et Cash | Tango and Cash | Andrei Konchalovsky et Albert Magnoli | Raymond « Ray » Tango | 55 000 000 $ | 63 408 614 $ | 120 408 614 $ | |
1990 | Rocky 5 | John G. Avildsen | Rocky Balboa | Stallone endosse pour la cinquième fois le rôle de son personnage fétiche. Le film est mal accueilli. | 42 000 000 $ | 40 946 358 $ | 119 946 358 $ | |
1991 | L'embrouille est dans le sac | Oscar | John Landis | Angelo « Snaps » Provolone | Remake américain d'Oscar | 35 000 000 $ | 23 562 716 $ | 25 862 716 $ |
1992 | Arrête ou ma mère va tirer ! | Stop! Or My Mom Will Shoot | Roger Spottiswoode | Sergent Joe Bomowski | 28 411 210 $ | 70 411 000 $ | ||
1993 | Cliffhanger : Traque au sommet | Cliffhanger | Renny Harlin | Gabe Walker | Retour du succès pour Stallone avec ce film, nommé 3 fois aux Oscars. | 65 000 000 $ | 84 049 211 $ | 255 000 211 $ |
1993 | Demolition Man | Marco Brambilla | John Spartan | Stallone confirme son retour sur le devant de la scène en cette année 1993 avec ce film de science-fiction aux côtés de Sandra Bullock et Wesley Snipes. | 70 000 000 $ | 58 055 768 $ | 159 055 768 $ | |
1994 | L'Expert | The Specialist | Luis Llosa | Ray Quick | 45 000 000 $ | 57 362 582 $ | 170 400 000 $ | |
1995 | Judge Dredd | Danny Cannon | Juge Joseph Dredd | 70 000 000 $ | 34 693 481 $ | 113 493 481 $ | ||
1995 | Assassins | Richard Donner | Robert Rath | 50 000 000 $ | 30 306 268 $ | 83 500 000 $ | ||
1996 | Daylight | Rob Cohen | Kit Latura | Malgré un succès critique mitigé, le film obtient une proposition pour les Oscars pour le son et les effets spéciaux. | 80 000 000 $ | 33 023 469 $ | 159 212 469 $ | |
1997 | An Alan Smithee Film | An Alan Smithee Film : Burn Hollywood Burn | Arthur Hiller | lui même | Sylvester Stallone joue son propre rôle le temps de deux scènes, dont une avec Jackie Chan et Whoopi Goldberg jouant eux aussi leur propre rôle. Dans ce long métrage en forme de documentaire, les 3 acteurs sont les vedettes d'un film d'action tourné par Alan Smithee. | 10 000 000 $ | 45 779 $ | 52 850 $ |
1997 | The Good Life | Alan Mehrez | Boss | Jamais sorti | ||||
1997 | Cop Land | James Mangold | Sheriff Freddy Heflin | Alors que Sylvester Stallone est en difficulté dans sa carrière, Cop Land reçoit une très bonne critique et le Sheriff Freddy Helfin devient un rôle relativement important pour lui. | 10 000 000 $ | 44 906 632 $ | 63 706 632 $ | |
1998 | Fourmiz | Antz | Eric Darnell et Tim Johnson | Weaver (voix) | 105 000 000 $ | 90 757 863 $ | 171 757 863 $ | |
2000 | Get Carter | Stephen T. Kay | Jack Carter | 40 000 000 $ | 14 967 182 $ | 19 417 182 $ | ||
2001 | Driven | Renny Harlin | Joe Tanto | 72 000 000 $ | 32 720 065 $ | 54 616 869 $ | ||
2001 | Compte à rebours mortel | Eye See You, D-Tox | Jim Gillespie | Agent FBI Jake Malloy | 55 000 000 $ | 79 161 $ | 6 416 302 $ | |
2002 | Mafia Love | Avenging Angelo | Martin Burke | Frankie Delano | 17 000 000 $ | 25 032 $ | 736 860 $ | |
2003 | Taxi 3 | Gérard Krawczyk | Premier passager de Daniel (non crédité) (Caméo) |
17 300 000 $ | 497 208 $ | 65 000 000 $ | ||
2003 | Les Maîtres du jeu | Shade | Damian Nieman | Dean Stevens | 6 800 000 $ | 33 225 $ | ||
2003 | Spy Kids 3 : Mission 3D | Spy Kids 3-D: Game Over | Robert Rodríguez | Toy Master | 38 000 000 $ | 111 761 982 $ | 197 011 982 $ | |
2006 | Rocky Balboa | Sylvester Stallone | Rocky Balboa | Dans cet ultime volet de la saga Rocky, Stallone revient sous la lumière des projecteurs et obtient un succès commercial et critique[12]. | 24 000 000 $ | 70 270 943 $ | 155 721 132 $ | |
2008 | John Rambo | Rambo | Sylvester Stallone | John Rambo | Retour de John Rambo après celui de Rocky Balboa. On en revient à l'aspect dramatique du premier Rambo même si l'action et la violence occupent une place importante. | 50 000 000 $ | 42 754 105 $ | 116 754 105 $ |
2009 | Kambakkht Ishq | Sabbir Khan | Lui-même | Sylvester Stallone fait ici une apparition dans son propre rôle, collaborant pour la première fois avec Bollywood. | 12 500 000 $ | 1 455 739 $ | 24 320 181 $ | |
2010 | Expendables : Unité spéciale | The Expendables | Sylvester Stallone | Barney Ross | Énorme succès au Box-office. Arnold Schwarzenegger y fait une petite apparition alors qu'il était encore gouverneur. | 80 000 000 $ | 103 068 524 $ | 274 470 394 $ |
2011 | Zookeeper | Frank Coraci | La voix du lion | 80 000 000 $ | 80 360 843 $ | 169 241 667 $ | ||
2012 | Expendables 2 : Unité spéciale | The Expendables 2 | Simon West | Barney Ross | 100 000 000 $ | 85 028 192 $ | 312 573 423 $ | |
2013 | Du plomb dans la tête | Bullet to the Head | Walter Hill | James Bonomo | 55 000 000 $ | 9 489 829 $ | 21 917 841 $ | |
2013 | Évasion | Escape Plan | Mikael Håfström | Ray Breslin | 70 000 000 $ | 24 325 582 $ | 103 060 013 $ | |
2014 | Reach Me | John Herzfeld | Gerald | 8 000 000 $ | ||||
2014 | Match retour | Grudge Match | Peter Segal | Henry « Razor » Sharp | 65 000 000 $ | |||
2014 | Expendables 3 : Unité spéciale | The Expendables 3 | Patrick Hughes | Barney Ross | 100 000 000 $ |
scénariste et/ou réalisateur[modifier | modifier le code]
Année | Film |
1976 | Rocky |
1978 | F.I.S.T. |
1978 | La Taverne de l'Enfer |
1979 | Rocky 2 : La Revanche |
1982 | Rocky 3 : L'OEil du tigre |
1982 | Rambo |
1983 | Staying Alive |
1984 | New York Cowboy |
1985 | Rambo 2 : La Mission |
1985 | Rocky 4 |
1986 | Cobra |
1987 | Le Bras de fer |
1988 | Rambo 3 |
1990 | Rocky 5 |
1993 | Cliffhanger : Traque au sommet |
2001 | Driven |
2006 | Rocky Balboa |
2008 | John Rambo |
2010 | Expendables : Unité spéciale |
2012 | Expendables 2 : Unité spéciale |
2014 | Homefront |
Télévision[modifier | modifier le code]
Année | Type | Titre | Titre V.O. | Réalisateur | Rôle | Précisions |
1975 | Série TV | Police Story | Joseph Wambaugh | Caddo | Saison 3 :
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1975 | Série TV | Kojak | Abby Mann | Detective Rick Daly | Saison 3 :
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2002 | Série animée | Liberty's Kids: Est. 1776 | Michael Maliani et Kevin O'Donnell | Voix de Paul Revere | Saison 1 :
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2005 | Série TV | Las Vegas | Gary Scott Thompson | Frank | Saison 2 :
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2005 | Série TV | The Contender | Mark Burnett | Mentor des boxeurs | Saison 1 :
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Voix françaises[modifier | modifier le code]
Alain Dorval est la voix fétiche de Sylvester Stallone depuis Rocky. Il y eut cependant une période où Stallone fut également doublé par Richard Darbois.
Distinctions[modifier | modifier le code]
Oscars[modifier | modifier le code]
- 1977 : Nommé pour l'Oscar du meilleur scénario - Rocky
- 1977 : Nommé pour l'Oscar du meilleur acteur - Rocky
Golden Globes[modifier | modifier le code]
- 1977 : Nommé pour le Golden Globe du Meilleur Acteur dans un film dramatique - Rocky
- 1977 : Nommé pour le Golden Globe du Meilleur Scénario - Rocky
BAFTA Awards[modifier | modifier le code]
- 1978 : Nommé pour le BAFTA du meilleur acteur - Rocky
- 1978 : Nommé pour le BAFTA du meilleur scénario - Rocky
Festival International du Film de Stockholm[modifier | modifier le code]
Academy of Science Fiction, Fantasy & Horror Films[modifier | modifier le code]
- 1997 : Lifetime Achievement Award
César[modifier | modifier le code]
David di Donatello Awards[modifier | modifier le code]
- 1977 : David du Meilleur Acteur Étranger
Golden Apple Awards[modifier | modifier le code]
- 1985 : Sour Apple
- 1996 : Golden Apple - Star Masculine de l'Année
- 1997 : Golden Apple - Star Masculine de l'Année
Golden Camera[modifier | modifier le code]
- 2004 : Meilleur Acteur International
Hasty Pudding Theatricals[modifier | modifier le code]
- 1986 : Homme de l'Année
Kansas City Film Critics Circle[modifier | modifier le code]
Palm Springs International Film Festival[modifier | modifier le code]
- 1998 : Desert Palm Achievement Award
People's Choice Awards[modifier | modifier le code]
- 1978 : Nommé pour le People's Choice Award - Acteur Favori
- 1979 : Nommé pour le People's Choice Award - Acteur Favori
- 1980 : Nommé pour le People's Choice Award - Acteur Favori
- 1986 : People's Choice Award - Acteur Favori
ShoWest Convention[modifier | modifier le code]
Walk of Fame[modifier | modifier le code]
- 1983 : Star du Walk of Fame - 29 juin 1983, 6712 Hollywood Boulevard
World Stunt Awards[modifier | modifier le code]
- 2005 : Taurus d'Honneur
Writers Guild of America[modifier | modifier le code]
Festival du Film de Zurich[modifier | modifier le code]
- 2008 : Golden Icon Award
Mostra de Venise[modifier | modifier le code]
- 2009 : Prix Vive le Cinéaste
IGN Award[modifier | modifier le code]
- 2010 : IGN's Action Heroes Hall of Fame
The Hollywood Reporter[modifier | modifier le code]
- 2010 : Key Art Visionary Award
Hollywood Film Festival[modifier | modifier le code]
- 2010 : Hollywood Film Award - Lifetime Achievement Award
Razzie Awards[modifier | modifier le code]
Sylvester Stallone a, à partir des années 1980, été régulièrement pris pour cible par les Razzie Awards. Il est devenu avec le temps l'une de leurs cibles favorites, et a reçu 10 Razzie Awards et 30 propositions, ce qui constitue un record pour cette manifestation parodique. Les Razzies l'ont proclamé en 1990 pire acteur des années 80 et en 2000 pire acteur du siècle[13].
- 1985 : Lauréat du Razzie Award du pire acteur pour New York Cowboy
- 1985 : Razzie Award du pire scénario pour New York Cowboy partagé avec Phil Alden Robinson
- 1985 : nommé pour le Razzie Award du pire scénario pour Rocky IV
- 1985 : lauréat du Razzie Award du pire réalisateur pour Rocky IV
- 1986 : lauréat du Razzie Award du pire scénario pour Rambo II: La mission partagé avec James Cameron et Kevin Jarre
- 1986 : lauréat du Razzie Award du pire acteur pour Rambo II: La mission
- 1986 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Cobra
- 1986 : nommé pour le Razzie Award du pire scénario pour Cobra
- 1987 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Le Bras de fer
- 1988 : nommé pour le Razzie Award du pire scénario pour Rambo 3 partagé avec Sheldon Lettich
- 1988 : Razzie Award du pire acteur pour Rambo 3
- 1989 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Haute Sécurité
- 1989 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Tango et Cash
- 1990 : lauréat du Razzie Award du pire de la décennie pour Cobra (1986), Haute sécurité (1989), Le bras de fer (1987), Rambo II: La mission (1985), Rambo III (1988), Rocky IV (1985), New York Cowboy (1984) et Tango et Cash (1989).
- 1991 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Rocky 5
- 1991 : nommé pour le Razzie Award le pire scénario pour Rocky V / Rocky 5
- 1991 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour L'embrouille est dans le sac
- 1992 : Razzie Award du pire acteur pour Arrête, ou ma mère va tirer !
- 1994 : nommé pour le Razzie Award le pire scénario pour Cliffhanger, traque au sommet (1993) partagé avec Michael France
- 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour L'Expert
- 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire couple partagé avec Sharon Stone pour L'Expert
- 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Assassins
- 1995 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Judge Dredd
- 1996 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Daylight
- 1999 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur dans un second rôle pour An Alan Smithee Film (1997)
- 2000 : lauréat du Razzie Award du pire acteur du siècle pour 99,5% de ses films
- 2001 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Get Carter
- 2002 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur pour Driven (2001)
- 2002 : nommé pour le Razzie Award du pire duo à l'écran pour Driven (2001) partagé avec Burt Reynolds
- 2002 : nommé pour le Razzie Award le pire scénario pour Driven (2001) partagé avec Jan Skrentny et Neal Tabachnick
- 2004 : nommé pour le Razzie Award du pire acteur dans différents rôles pour Mission 3D: Spy Kids 3 (2003)
- 2011 : nommé pour le Razzie Award du pire réalisateur pour Expendables : Unité spéciale
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (fr) Sly Stallone, sur Rottentomatoes.com (consulté le 9 avril)
- (en) Frank Stallone, polo player and father of actor Sylvester Stallone, dies at 91, sur Washington Post (consulté le 28 mars 2013)
- (fr) "Cinéma. Stallone est de Brest « même » !", Le Télégramme de Brest, 6 octobre 2009
- (en) Will Stewart, « Rambo-ski - Hollywood star Sylvester Stallone's Russian secret », Daily Mail, London, April 11, 2009 (lire en ligne)
- (en) Interview de Sylvester Stallone, Playboy, Septembre 1978
- 'The 'Italian Stallion' Hoax: Stallone Never Did Hardcore, AVN, 6 février 2008
- Hélène Pagesy, "Sage Stallone : une carrière trop vite interrompue", Lefigaro.fr, 16 juillet 2012
- http://www.stallone.biz/10-categorie-150213.html
- http://akas.imdb.com/name/nm0000230/bio
- Boxofficemojo
- www.filmdeculte.com
- Allociné
- All-Time Razzie Champions, Razzies.com, 26 février 2005
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
David Da Silva, Sylvester Stallone: Héros de la classe ouvrière, Paris, Le sens des images, 2013.
Mohamed Mamou, Sylvester Stallone : Une revanche sur la vie, Ed. Broché, Paris, 1995.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Notices d'autorité : Système universitaire de documentation . Bibliothèque nationale de France . Fichier d'autorité international virtuel . Bibliothèque du Congrès . Gemeinsame Normdatei . WorldCat
- Site officiel
- (en) Sylvester Stallone sur l'Internet Movie Database
- Sylvester Stallone sur AlloCiné
- Interview de David Da Silva pour son livre sur Sylvester Stallone.